Le Gatinais, c’est nul

Dans un match où tout commençait mal (pas de féminine, défaites rapides de Jean-Pierre et de Valery), le sort comme le temps a tourné.

« A midi, a minuit, à Amilly, sous la pluie », ce ne fut pas les Champs-Elysées, ni une ballade de santé, mais un match nul dû à la persévérance de Fabrice qui conclut sa partie après plus de six heures de jeu.

Marc gagne, Antoine gagne, Gérard annule par miracle, Valery perd rapidement, je gagne, Jean-Pierre blitze et perd, et Fabrice nous joue une grande partie qui nous sauve.

Le Gatinais nous a gaté.

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